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Layer cake

Ce que j’aime dans le cinéma anglais, c’est qu’il vous sorte des films, sans renfort de pub et autre marketing à deux sous (ce qui est parfois dommage car du coup, le pourcentage de passer à côté est assez élevé) et qu’a chaque fois je reste scotché par leur scénario.

Par un petit concours de circonstance me voila parti pour aller voir une adapation de Micheal Connely et voir enfin la tête du fameux Harry Bosch. Ne connaissant pas ce livre, me suis dit que ma femme avait du passer à côté, chose rare quand il s’agit de cet auteur.

Bref en deux temps trois mouvements en compagnie d’un vieil ami de retour dans notre belle capitale, je me pose et me laisse entrainer par le film. Deux, trois acteurs me disent quelque chose, mais sans plus, l’histoire commence en douceur et montent en puissance, le scénario se déroule sans fausses notes. Quelques petites fausses pistes et rebondissements divers se succèdent sans trop de longeur ou de scènes de remplissage, cela tient la route, le jeux des acteurs est excellent et tellement british ( une petite voix me dit alors, que je ne suis pas dans du Connelly là, mais qu’il n’y a pas a rougir et il faudra regarder pourquoi il ya eu confusion). A cela s’ajoute une superbe creature blonde, un peu d’humour, un peu de rebondissement et une fin à l’europèenne.

Voilà un bon moment de cinéma, comme on aimerait voir plus souvent, cela change des grosses productions hollywoodiennes creuses et sans scénarios de ce mois de juillet voir de l’année, en règle generale, finalement. Mais passons, je ferai un autre billet sur cela, un autre jour.

POur vous donnez envie, le lien du site du film Layer cake

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